17.02.03 - Une hégémonie peut
devenir arbritraire.
"Il
ne s'agit pas d'être "pro" ou "anti" américains. Il s'agit d'être leurs
amis sincères. Personne ne conteste le leadership mondial des Etats-Unis
d'Amérique. Il est un fait. Le problème est de savoir comment cette
position dominante est gérée."
" La tempérance n'est pas seulement une vertu individuelle, c'est
aussi une vertu des peuples, donc politique. Washington doit savoir
pratiquer cette vertu, autrement son leadership devient hégémonie, arbitraire.
Qui finit par susciter la gêne, même parmi les amis". Ainsi s'exprime
le P. Pasquale Borgomeo, directeur de "Radio Vatican".
C'est déjà une guerre à cause de laquelle les Etats-Unis
sont entrés en conflit avec l'ONU, et cela n'est bon pour personne,
au contraire, le résultat en est l'éloignement des alliés de l'Amérique.
On l'a vu en Australie. Mais le comportement négatif des Etats-Unis
s'est également exprimé par leur intolérance envers le Tribunal pénal
international, auquel ils se sont opposés.
" En somme - fait remarquer le père Borgomeo - nous voulons une Amérique
forte mais juste aussi, solidaire, compatissante (c'est ce promet Bush),
capable de regarder au-delà de ses intérêts immédiats au nom du bien
commun universel. C'est la seule grande puissance qui est resté sur
la planète. Elle devrait procéder avec sagesse et responsabilité".
" L'Amérique devrait redevenir tempérante : une superpuissance
ne saurait être arbitraire sans en payer les conséquences". (source
: vid)
Pour plus d'informations : Agence
VID
Retour
|