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- Commentant ce scandale, Mgr Cañizares, nommé en décembre Préfet de la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, a déclaré : "Ce qui a pu se passer dans un certain nombre de collèges n'est pas comparable avec les millions de vies détruites par l'avortement". Ces propos repris dans les médias ont provoqué la colère du gouvernement socialiste, qui a approuvé récemment un projet de libéralisation de la loi sur l'avortement, qui sera autorisé librement jusqu'à la 14e semaine de grossesse. "C'est très grave et irresponsable de comparer les abus sexuels sur des mineurs avec l'avortement", a réagi la ministre de la Santé et de la Politique sociale, Trinidad Jimenez. "Nous parlons de sujets complètement différents. Les abus sexuels sont normalement commis sur des mineurs contre leur volonté et affectent leur vie d'une manière terrible", a-t-elle ajouté. (information : CEE) |