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26.07.04 - Le congrès de missiologie de Kinshasa.

Parmi les nombreuses propositions du congrès de missiologie qui s'est tenu à Kinshasa, du 11 au 17 juillet, on peut en relever quelques-uns qui nous empêchent de céder à "l'afropessimisme" qui est souvent de mise lorsque l'on parle de l'Afrique. Il avait été organisé sous les auspices du Symposium des conférences épiscopales d’Afrique et de Madagascar (SCEAM), ainsi que de la conférence épiscopale du Congo, dans le but de faire le point sur les conditions de la mission de l’Eglise et de suggérer de nouvelles modalités pour exercer l’activité missionnaire. En premier lieu, tous les délégués ont exprimé le désir de faire jouer un rôle croissant aux jeunes dans les Eglises d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Asie. Donner donc plus de place aux jeunes dans l'Eglise. Une autre exigence très ressentie fut de vouloir créer des échanges et des rapports entre les différentes Eglises particulières. Des échanges entre celles du nord et du sud du monde (Europe et Amérique du Nord d’une part, Afrique, Amérique Latine et Asie d’autre part), mais aussi entre celles d’un même continent. Dans ce sens il a été décider de créer des contacts systématiques entre les théologiens des différents continents, de manière à obtenir un échange profitable entre le nord et le sud, au plan doctrinal et théologique. (17.07) (source : Agence Fides)

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