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FlashPress - Infocatho |
1 et 2 novembre 2004 (semaine 44) |
- Il est trop tôt pour faire le bilan "en profondeur" car il y a eu des avis divergents, mais il faut surtout voir l’ensmeble.. Certes dans tel quartier, les "évangélisateurs" se sont vus fermer la porte : "Nous n’avons pas besoin des Témoins de Jéhovah". Sur les trottoirs d’une rue populaire et passante, les parisiens de couleurs se demandaient quels étaient ces "prédicants" de style américain : "A mon avis, dit un jeune de passage, quelqu’un qui n’est pas à ce niveau a tout de suite envie de repartir en se demandant qui sont ces gens-là..." Élisabeth, quant à elle, venue de la banlieue parisienne et de passage sur le parvis de Notre-Dame, n’est pas "choquée par cette manifestation. Personne n’est obligé de s’arrêter de toute manière. Et puis, je trouve qu’aujourd’hui, c’est plutôt bien que des gens parlent de choses positives, redonnent un peu d’espérance." Souhait justement exprimé par le cardinal Lustiger, dimanche après-midi, en prononçant ces mots au pied de la croix, sur le parvis de Notre-Dame : "Nous voulons redonner le goût de l’espérance." Probablement le plus juste résumé de "Paris Toussaint 2004" placé sur le thème : "Qui nous fera voir le bonheur ?", selon le journal "La Croix" . Probablement le trait d’union de toutes les actions de ce congrès d’évangélisation multiforme, portant cette espérance chrétienne dans la rue, en paroisses ou "in cathedra", en musique, en théâtre ou en atelier, de manière discrète ou bien visible, en direction des jeunes et des moins jeunes, des Parisiens, des touristes… ainsi qu’aux sans-abri, dont 200 sont venus à la messe de la Toussaint aux premières chaises de Notre-Dame pour une messe qui leur était dédiée. (source et information : Toussaint 2004)Retour aux dépèches |