Pour vivre au rythme de l'Eglise universelle.
GUINÉE ÉQUATORIALE
 

 

Statistiques générales    
Superficie : 28,051 km 2
Population : 668,225 h.
en 1950 : ?
en 2025 : 794,724 h

Malabo : 50,000 h

0-14 ans : 41,5 %
15-64 ans : %
65 ans et plus : 4,1 %

espérance de vie : 62,37 ans
sous le seuil de pauvreté : - %
alphabétisation : 85,7 %
taux de croissance (2010) : - 0,8 %
Statistiques religieuses    
Christianisme : 95,12 %
dont
Catholicisme :  83,95 %
Protestantisme :  3,19 %

Religions traditionelles : 2,90 %

Statistiques catholiques.


Baptisés : 548.000

Diocèses : 3
Evêques : -
Prêtres diocésains : 63
Prêtres religieux : 45
Diacres : 2
Religieux : 86
Religieuses : 208


 
Église catholique romaine    

Conférence épiscopale de Guinée équatoriale

Secrétariat

Arzobispado, Apartado 106, Malabo, Bioko Norte
Guinée équatoriale
Tél : 09/ 29 09 - fax : 21 76
e-amil : arzobispadomalabo@hotmail.com




Nonciature apostolique

Lil
 
Églises chrétiennes    

BUND EVANGELISCH-FREIKIRCHLICHER GEMEINDEN IN DEUTSCHLAND (BAPTISTEN)

Postfach


 


LIETUVIY EVANGELIKY LIUTERONY BAZNYCIA
(LitaOrganisations et Conseils oecuméniques
Council of Evangelical Churches of Equatorial Guinea
Membres du COE basés en Guinée équatoriale
Église réformée presbytérienne de Guinée équatorialeu



Situation religieuse    

La Constitution de 1991 garantit la liberté religieuse (art. 13.f) et le gouvernement respecte généralement cette provision. Un décret de 1992 établit que tout groupe religieux doit s’inscrire auprès du ministre de la justice et des cultes en lui présentant une demande.

L’Eglise catholique et l’Eglise réformée presbytérienne de Guinée Equatoriale sont exemptes de cette obligation, et pour des raisons historiques et sociales bénéficient aussi d’autres privilèges. Les représentants religieux sont prévenus qu’il ne peuvent pas intervenir dans les affaires d’Etat, et sont informés spécifiquement que la foi ne concerne que les affaires spirituelles.

Il arrive même que des membres du gouvernement vérifient les sermons donnés aux événements religieux afin de vérifier que le gouvernement n’y soit pas critiqué ; ils contrôlent parfois aussi des célébrations religieuses.


   
Sites religieux et pèlerinages    


Alttöting

Statdpfarrer
Kapelleplatz 4a
D-84503 Altöttng
tél : + 49/ 8671 - 62 62



Kevelar

Rektor der Kevelaer Wallfahrt
Kapellenplatz 35 - D-47623 Kevelaer
tél : + 49/ 2832 - 933 80 - fax : + 49/ 2832 - 707 26
e-mail : wallfahrtsleitungkevelaer@t-oneline.de


Le plus célèbre et le plus ancien des sanctuaires marials de toute l'Allemagne du Sud est celui de Alttöting, en Bavière : il date de la fin de l'ère carolingienne (Xe siècle), mais c'est surtout à partir du XVe siècle qu'il devient un haut-lieu de pélerinage et demeure actuellement très fréquenté, y compris par les populations venant des pays de l'Est, voisins.

Un autre haut-lieu marial ancien de l'Allemagne est le Sanctuaire de Notre Dame des Douleurs à Telgte, près de Münster, en Westphalie. Le pélerinage date probablement de la fin du XIVe siècle.

Citons aussi le pélerinage de Notre Dame de Kevelaer, "Consolatrice des affligés": situé sur le Rhin inférieur, ce sanctuaire dédié à Marie est le plus couru de l'Allemagne; il en est aussi le plus populaire.

Dans la grande ville de Cologne, il existe un sanctuaire marial autour d'une ancienne statue de bois, au lieu-dit "Sainte Marie de la Rue du Cuivre" : lieu de prière toujours très fréquenté.

Une antique tradition veut que les reliques des trois rois mages de l'évangile reposent dans la cathédrale de Cologne. C'est une tradition qui se traduisit par un merveilleux reliquaire en chêne et cuivre doré, datant des année 1181 et restauré en 1230.

De même, depuis le Moyen-Age, les pélerins viennent vénérer "Notre Dame d'Aix-la-Chapelle", où sont conservés de très précieuses reliques : la robe dans laquelle "Marie mit au monde le Fils de Dieu", les langes de Notre Seigneur et l'étoffe qu'Il portait autour des reins sur la croix, rapporte la Tradition.

Histoire - Quelques dates    


L'histoire de la Guinée équatoriale avant la colonisation est mal connue. L'existence d'entités politiques, comme le royaume d'Oyo et les villes-États des clans Fang sur la partie continentale, le royaume Benga sur l'île de Corisco, et le royaume Bubi sur l'île de Bioko, est cependant attestée.

Les navigateurs portugais sont les premier Européens à explorer le golfe de Guinée, en 1471. C'est à cette date que Fernando Póo relève l'emplacement de l'île de Bioko, pendant qu'il recherche la route des Indes. Vers 1493, Jean II le Parfait, roi de Portugal, s'autoproclame Seigneur de Guinée et Seigneur de Corisco.

Les Portugais commencent à coloniser les îles de Bioko (alors appelée Fernando Póo, du nom de son découvreur), de Pagalu (alors appelée Annobón) et de Corisco ; elles servent de comptoirs pour le trafic d'esclaves.

En 1641, la Compagnie hollandaise des Indes orientales s'installe sans l'accord du Portugal sur l'île de Bioko, et en fait le centre du trafic d'esclaves dans le golfe de Guinée ; les Portugais ne se manifestent à nouveau sur l'île qu'en 1648, et remplacent la compagnie hollandaise par la Compagnie de Corisco, qui se consacre aux mêmes activités. Ils construisent l'un des premiers bâtiments européens de l'île, le fort de Punta Joko. Le Portugal, qui se fournit auprès de certains royaumes côtiers pratiquant déjà l'esclavage, revend des esclaves à la France, à l'Espagne et à l'Angleterre.

Les îles restent aux mains des Portugais jusqu'en mars 1778, quand elles sont cédées à l'Espagne

1827 Colonisation britannique
1856 Création de la Guinée espagnole
1968 Indépendance de la Guinée espagnole sous le nom de Guinée équatoriale
1979 Teodoro Obiang Mbasogo prend le pouvoir par la force


   
Tourisme et culture    


PATRIMOINE MONDIAL DE L'UNESCO


Cathédrale d'Aix-la-Chapelle
 
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