Pour vivre au rythme de l'Eglise universelle.
GUINÉE
 

Si l'islam sunnite domine à la fois sur le plan démographique, social et culturel, la Guinée compte aussi des chrétiens (10 %) de toutes confessions, des bahaïs, des hindous des bouddhistes.

Statistiques générales    


Dossier AED

Superficie : 245,857 km 2
Population : 10,211,437 h.
en 1950 : 2,700,000 h
en 2025 : h

Conakry : 9,402,000 h
population urbaine : 34,3 %

0-14 ans : 44,3 %
15-64 ans : %
65 ans et plus : 3,5 %

espérance de vie : 57,09 ans
sous le seuil de pauvreté : 47 %
alphabétisation : ?
taux de croissance : ?


Statistiques religieuses    
Christianisme : 8,0 %
dont
Catholicisme :  2,57 %
Protestantisme :  %

Musulmans : 85,0 %
Religions traditionnelles : 7 %

Statistiques catholiques.


Baptisés : 171.000

Diocèses : 3
Evêques : -
Prêtres diocésains : 80
Prêtres religieux : 819
Diacres : 2,494
Religieux : 36
Religieuses : 100


 
Église catholique romaine    

Conférence épiscopale de la Guinée

Secrétariat

BP. 1006bis - Conakry - tél : + 224/ 41 32 70 

Pour les communautés francophones

Dans ce pays francophone, vous trouverez, dans les paroisses et les missions, de nombreux prêtres et des communautés parlant français.




Nonciature apostolique

Li
 
Églises chrétiennes    

BUND EVANGELISCH-FREIKIRCHLICHER GEMEINDEN IN DEUTSCHLAND (BAPTISTEN)

Postfach

 


LIETUVIY EVANGELIKY LIUTERONY BAZNYCIA
(Litau



Situation religieuse    

La Constitution de 1990 reconnaît la liberté religieuse et garantit, à l’article 14, l’autonomie et l’auto-organisation totales des institutions et communautés religieuses. Un Secrétariat général pour les Affaires Religieuses a été créé en mars 2007, avec des représentants des deux religions, afin de faire participer aussi bien les musulmans - qui représentent la majorité de la population - que les chrétiens aux décisions d’importance nationale.

Les groupes religieux doivent s’inscrire auprès du ministère de l’Intérieur, mais peuvent fonctionner sans avoir été reconnus, bien qu’ils perdent ainsi certains bénéfices fiscaux. Les groupes non-inscrits peuvent êtres interdits, et les étrangers parmi leurs membres expulsés du pays, mais ceci n’advient généralement pas. Par exemple, la petite communauté Bahaïe est active, bien que non reconnue.

Les médias de l’Etat rapportent les événements concernant les deux religions, et la télévision publique accorde un espace de 75 minutes chaque semaine pour des émissions musulmanes ou chrétiennes. Il est interdit aux groupes religieux et aux partis politiques d’avoir leurs propres stations de radio ou chaînes de télévision.

Les écoles privées et religieuses sont autorisées, sous le contrôle du ministère de l’éducation qui doit garantir le respect des normes nationales. Les écoles chrétiennes, qu’elles soient catholiques ou protestantes, sont nombreuses. Les madras (écoles musulmanes), souvent dirigées par des groupes islamiques radicaux, et financées par des fonds étrangers, ne sont généralement pas insérées dans le système scolaire publique, mais quelques unes offrent un programme adéquat pour l’enseignement primaire.

Dans certaines zones à majorité musulmane, il existe de fortes pressions sociales contre le prosélytisme des autres religions, et contre toute conversion de musulmans. Toutefois, les vrais épisodes d’intolérance entre les religions sont rares.


   
Sites religieux et pèlerinages    


Alttöting

Statdpfarrer
Kapelleplatz 4a
D-84503 Altöttng
tél : + 49/ 8671 - 62 62



Kevelar

Rektor der Kevelaer Wallfahrt
Kapellenplatz 35 - D-47623 Kevelaer
tél : + 49/ 2832 - 933 80 - fax : + 49/ 2832 - 707 26
e-mail : wallfahrtsleitungkevelaer@t-oneline.de


Le plus célèbre et le plus ancien des sanctuaires marials de toute l'Allemagne du Sud est celui de Alttöting, en Bavière : il date de la fin de l'ère carolingienne (Xe siècle), mais c'est surtout à partir du XVe siècle qu'il devient un haut-lieu de pélerinage et demeure actuellement très fréquenté, y compris par les populations venant des pays de l'Est, voisins.

Un autre haut-lieu marial ancien de l'Allemagne est le Sanctuaire de Notre Dame des Douleurs à Telgte, près de Münster, en Westphalie. Le pélerinage date probablement de la fin du XIVe siècle.

Citons aussi le pélerinage de Notre Dame de Kevelaer, "Consolatrice des affligés": situé sur le Rhin inférieur, ce sanctuaire dédié à Marie est le plus couru de l'Allemagne; il en est aussi le plus populaire.

Dans la grande ville de Cologne, il existe un sanctuaire marial autour d'une ancienne statue de bois, au lieu-dit "Sainte Marie de la Rue du Cuivre" : lieu de prière toujours très fréquenté.

Une antique tradition veut que les reliques des trois rois mages de l'évangile reposent dans la cathédrale de Cologne. C'est une tradition qui se traduisit par un merveilleux reliquaire en chêne et cuivre doré, datant des année 1181 et restauré en 1230.

De même, depuis le Moyen-Age, les pélerins viennent vénérer "Notre Dame d'Aix-la-Chapelle", où sont conservés de très précieuses reliques : la robe dans laquelle "Marie mit au monde le Fils de Dieu", les langes de Notre Seigneur et l'étoffe qu'Il portait autour des reins sur la croix, rapporte la Tradition.

Histoire - Quelques dates    


du IXe siècle au XIe siècle : Le royaume mandingue, vassal de l'Empire du Ghana, s'établit du Haut-Sénégal au Haut-Niger. L'empire du Ghana s'étendit en Afrique de l'Ouest du VIIIe au XIIIe siècle.
XIVe siècle : L'Empire du Mali connaît son apogée, s'étendant du nord et de l'est de la Guinée à Tombouctou.
XVe siècle : Déclin de l'empire du Mali. Les Européens arrivent sur les côtes et pratiquent le commerce des esclaves mais aussi de l´ivoire et des épices (huile de palme, malaguette).
du XVIe au XVIIIe siècle : Arrivée des Peuls et des Mandingues apportant l'islam. De nombreux empires et royaumes, encore très présents dans la mémoire collective, se succèdent dans la région. Les classes gouvernantes mandingues se convertirent très tôt à l'islam. L'expansion de la religion musulmane dans toute la Guinée fut cependant due au prosélytisme du clan des Torobde, des pasteurs peuls installés dans le Fouta-Djalon.
Milieu du XIXe siècle : La plupart de la population est islamisée, à l'exception des habitants du royaume Mossi, qui résistent et conservent leurs croyances traditionnelles.

Seconde moitié du XIXe siècle : La France, employant alternativement la force et la diplomatie, s'empare non sans difficulté de la plus grande partie de l'ouest du Soudan (actuel Mali). Elle prend Tombouctou, pousse jusqu'au lac Tchad et occupe la côte guinéenne.
1891 : La Guinée est proclamée colonie française, indépendamment du Sénégal, auquel elle était précédemment rattachée.
1904 : La Guinée devient une partie intégrante de l'Afrique occidentale française (AOF). Les industriels français y développent plantations de café, de banane et d´huile de palme ainsi que l´activité minière (bauxite).
Cependant, une conscience politique anticoloniale se développe peu à peu, pour s'affirmer après la Seconde Guerre mondiale. En effet, Conakry devenant un port important, beaucoup de Guinéens y sont employés. Ils ont alors la possibilité de former leurs propres syndicats, d'où émergent des mouvements contestataires.

Le 2 octobre 1958, la Guinée accède à l'indépendance. Sékou Touré, alors très populaire dans son pays comme dans tous les pays d'Afrique, en devient le président. Il prône alors le panafricanisme, « La décolonisation intégrale de toutes les structures du pays » et la mise en place d'une « société socialiste ». En fait, le régime se transforme en dictature.
1984 Mort du dictateur Sékou Touré
1991 Adoption d'une nouvelle constitution
1993 Première élection présidentielle pluraliste. Election de Lansana Conté, qui meurt en 2008

2008 : Coup d'État - Moussa Dadis Camara s'autoproclame président de la République.



   
Tourisme et culture    


PATRIMOINE MONDIAL DE L'UNESCO


Réserve naturelle intégrale du mont Nimba *
 
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