Dossier AED |
Superficie : 455 km 2
Population : 87,476 h.
en 1950 -
en 2025 : 97,962 h
Victoria : 24,000 h
populaton urbaine : h
0-14 ans : 24,9 %
15-64 ans : %
65 ans et plus : 7,1 %
espérance de vie : 73,02 ans
sous le seuil de pauvreté : - %
alphabétisation : -
taux de croissance en 2008 : 0,0 % |
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Christianisme : 69.47 %
dont
Catholicisme : 82,3 %
Anglicans : 6,4 %
Autres chrétiens : 3,4 %
Musulmans : 1,1 %
Hindouisme : 2,1 % |
Statistiques catholiques.
Baptisés : 70.000
Diocèses : 1
Evêques : -
Prêtres diocésains : 8
Prêtres religieux : 8
Diacre : 1
Religieux : 9
Religieuses : 53
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Église catholique romaine |
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Conférence épiscopale de l'Océan
Indien
Secrétariat
de la CEDOI
Evêché - BP. 55
- 97462 St Denis de La Réunion - cedex
tél : + 262/ 21 28 49
Evêché
de Port-Victoria
PO. Box 43 - Olivier Maradan
str. - Port-Victoria-Mahé - Seychelles
tél : + 248/ 32 21 52 - fax : + 248/ 42 40 95
Communauté francophone
Victoria
- Mahé
Cathédrale de l'Immaculée
Conoeptlon,
P. O. Box 12, Victoria - tél : + 248/ 32 26 52 - fax : + 248/
32 14 64
Paroisse Sainte-Thérèse
Tél : 248/ 34.44.99 - fax : 248/ 34.57.22
e-mail : taramgui@seychelles.net
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Nonciature apostolique
Le nonce réside à Antananarivo - Madagascar |
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BUND EVANGELISCH-FREIKIRCHLICHER GEMEINDEN IN DEUTSCHLAND (BAPTISTEN)
Postf
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LIETUVIY EVANGELIKY LIUTERONY BAZNYCIA
(Litau
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La Constitution de 1993, avec son article 21 vaste et détaillé, garantit la pleine reconnaissance de la liberté religieuse.
Malgré cela, le gouvernement a décidé en 2006 d’introduire un amendement à la loi sur les communications qui empêche aux confessions religieuses et aux groupes politiques d’avoir des licences radio. Mais en général, on ne les empêche pas d’avoir recours aux services d’autres radios de diffusion nationale pour effectuer leurs transmissions. Le gouvernement permet à toutes les organisations religieuses de transmettre par rotation leurs propres services.
La majeure partie de la population confesse la religion chrétienne, principalement catholique. Il y a aussi une petite communauté musulmane. Les rapports entre les différents groupes sont pacifiques, facilités par le gouvernement qui en promeut le dialogue.
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Sites religieux et pèlerinages |
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Alttöting
Statdpfarrer
Kapelleplatz 4a
D-84503 Altöttng
tél : + 49/ 8671 - 62 62
Kevelar
Rektor der Kevelaer Wallfahrt
Kapellenplatz 35 - D-47623 Kevelaer
tél : + 49/ 2832 - 933 80
- fax : + 49/ 2832 - 707 26
e-mail : wallfahrtsleitungkevelaer@t-oneline.de
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Le plus célèbre et le plus ancien des sanctuaires marials de toute l'Allemagne du Sud est celui de Alttöting, en Bavière : il date de la fin de l'ère carolingienne (Xe siècle), mais c'est surtout à partir du XVe siècle qu'il devient un haut-lieu de pélerinage et demeure actuellement très fréquenté, y compris par les populations venant des pays de l'Est, voisins.
Un autre haut-lieu marial ancien de l'Allemagne est le Sanctuaire de Notre Dame des Douleurs à Telgte, près de Münster, en Westphalie. Le pélerinage date probablement de la fin du XIVe siècle.
Citons aussi le pélerinage de Notre Dame de Kevelaer, "Consolatrice des affligés": situé sur le Rhin inférieur, ce sanctuaire dédié à Marie est le plus couru de l'Allemagne; il en est aussi le plus populaire.
Dans la grande ville de Cologne, il existe un sanctuaire marial autour d'une ancienne statue de bois, au lieu-dit "Sainte Marie de la Rue du Cuivre" : lieu de prière toujours très fréquenté.
Une antique tradition veut que les reliques des trois rois mages de l'évangile reposent dans la cathédrale de Cologne. C'est une tradition qui se traduisit par un merveilleux reliquaire en chêne et cuivre doré, datant des année 1181 et restauré en 1230.
De même, depuis le Moyen-Age, les pélerins viennent vénérer "Notre Dame d'Aix-la-Chapelle", où sont conservés de très précieuses reliques : la robe dans laquelle "Marie mit au monde le Fils de Dieu", les langes de Notre Seigneur et l'étoffe qu'Il portait autour des reins sur la croix, rapporte la Tradition. |
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Histoire - Quelques dates |
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Certainement visité par des navigateurs arabes depuis le Xème siècle, l'archipel était inhabité lorsqu'il fut signalé par Vasco de Gama, en 1502 ; les Portugais ne l'utilisèrent que comme escale sur la route des Indes, et au XVIIIème siècle, les Seychelles, toujours pratiquement inhabitées, ne servaient que de repaires aux pirates lorsque les Français en prirent possession.
Ce fut le gouverneur de l'île de France (aujourd'hui Maurice), Mahé de La Bourdonnais, qui, en 1742, envoya le navigateur Lazare Picault reconnaître ces îles ; ce dernier nomma les îles Mahé (en l'honneur du gouverneur) et Praslin (du nom du duc de Choiseul), l'archipel, quant à lui, recevant plus tard le nom de l'intendant général des Finances, Moreau de Séchelles.
En 1756, la France en prend officiellement possession et, à partir de 1770, le nouveau gouverneur de l'île de France, Pierre Poivre, y introduit la culture des épices.
À la fin du XVIIIème siècle, les Britanniques tentèrent plusieurs fois de s'emparer de l'archipel, mais la conduite évasive du gouverneur français, Quéau de Quinssy, permit d'y maintenir jusqu'en 1810 la souveraineté française : il répondait en effet à chaque débarquement britannique par une reddition immédiate, mais, sitôt les troupes ennemies reparties, il faisait de nouveau hisser le drapeau français.
En 1814 (traité de Paris), les Britanniques prirent officiellement le contrôle de l'archipel, qu'ils rattachèrent à l'île Maurice.
Les Seychelles furent d'abord administrées par un simple agent.
L'octroi, en 1903, du statut de colonie de la Couronne concrétisa la séparation des Seychelles et de l'île Maurice.
À partir de 1948, plusieurs réformes constitutionnelles successives conduisirent l'archipel de l'autonomie à l'indépendance (29 juin 1976), au sein du Commonwealth.
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