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TOGO
 

Dans cette langue de terre qui descend vers la mer, les animistes (33 %) sont plus nombreux que les catholiques (27,8 %) et les musulmans (13,7%).

Statistiques générales    


Dossier AED

Superficie : 56,785 km 2
Population : 6,019,877 h.
en 1950 : 1,300,000 h
en 2025 : 8,482,467 h

Lomé : 786,000 h
population urbaine : 42,2 %

0-14 ans : 41,7 %
15-64 ans : 56,6 %
65 ans et plus : 2,7 %

espérance de vie : 58,69 ans
sous le seuil de pauvreté : 32 %
alphabétisation : 60,9 %
taux de croissance en 2008 : 1,1 %


Statistiques religieuses    
Christianisme : 29 %
dont
Catholicisme :  24,85 %
Protestantisme :  %

Musulmans : 20 %
Religions traditionnelles : 51,0 %
Statistiques catholiques.

Baptisés : 1,483,000

Diocèses : 7
Evêques : -
Prêtres diocésains : 321
Prêtres religieux : 127
Diacres : -
Religieux : 337
Religieuses : 735
 
Église catholique romaine    

Conférence épiscopale du Togo
Secrétariat

BP. 348 - Lomé - tél : + 228/ 21 22 72

Communautés francophones

Dans ce pays francophone, vous trouverez, dans les paroisses et les missions, des prêtres et des communautés parlant français.

Lomé
Cathédrale du Sacré Coeur
10 rue du Maréchal Foch - BP. 3108 - Lomé - tél : + 228/ 21.22.73




Nonciature apostolique

Lomé. BP 20790 - Togo
Tel : (228) 226.03.06 - fax: 226.68.80
e-mail : noncaplome@ids.tg
 
Églises chrétiennes    

BUND EVANGELISCH-FREIKIRCHLICHER GEMEINDEN IN DEUTSCHLAND (BAPTISTEN)

Pos


 


LIETUVIY EVANGELIKY LIUTERONY BAZNYCIA
(Lita



Situation religieuse    

La Constitution a décrété la liberté religieuse et les autorités publiques ont généralement respecté ce droit en pratique.

En 2004 le gouvernement a voté en faveur de la résolution de l’ONU pour l’abolition de toute forme d’intolérance religieuse, qui définit la liberté religieuse comme un droit humain fondamental.

Les statistiques les plus récentes disponibles, datant de 2004, montrent que 33% de la population professe les religions animistes traditionnelles, 28% sont des catholiques, 14% des musulmans sunnites, 10% des protestants, et les 10% restants sont des chrétiens appartenant à diverses dénominations.

L’Etat reconnaît trois religions officielles : le catholicisme, le protestantisme, et l’islam, et exige que tous les autres groupes s’inscrivent en tant qu’associations. L’inscription, et donc la reconnaissance officielle, apporte des avantages fiscaux sur les impôts, après une demande auprès du Ministère des affaires Etrangères.

Le respect de la liberté religieuse a été récemment affecté par une succession de tensions politiques.


   
Sites religieux et pèlerinages    


Alttöting

Statdpfarrer
Kapelleplatz 4a
D-84503 Altöttng
tél : + 49/ 8671 - 62 62



Kevelar

Rektor der Kevelaer Wallfahrt
Kapellenplatz 35 - D-47623 Kevelaer
tél : + 49/ 2832 - 933 80 - fax : + 49/ 2832 - 707 26
e-mail : wallfahrtsleitungkevelaer@t-oneline.de


Le plus célèbre et le plus ancien des sanctuaires marials de toute l'Allemagne du Sud est celui de Alttöting, en Bavière : il date de la fin de l'ère carolingienne (Xe siècle), mais c'est surtout à partir du XVe siècle qu'il devient un haut-lieu de pélerinage et demeure actuellement très fréquenté, y compris par les populations venant des pays de l'Est, voisins.

Un autre haut-lieu marial ancien de l'Allemagne est le Sanctuaire de Notre Dame des Douleurs à Telgte, près de Münster, en Westphalie. Le pélerinage date probablement de la fin du XIVe siècle.

Citons aussi le pélerinage de Notre Dame de Kevelaer, "Consolatrice des affligés": situé sur le Rhin inférieur, ce sanctuaire dédié à Marie est le plus couru de l'Allemagne; il en est aussi le plus populaire.

Dans la grande ville de Cologne, il existe un sanctuaire marial autour d'une ancienne statue de bois, au lieu-dit "Sainte Marie de la Rue du Cuivre" : lieu de prière toujours très fréquenté.

Une antique tradition veut que les reliques des trois rois mages de l'évangile reposent dans la cathédrale de Cologne. C'est une tradition qui se traduisit par un merveilleux reliquaire en chêne et cuivre doré, datant des année 1181 et restauré en 1230.

De même, depuis le Moyen-Age, les pélerins viennent vénérer "Notre Dame d'Aix-la-Chapelle", où sont conservés de très précieuses reliques : la robe dans laquelle "Marie mit au monde le Fils de Dieu", les langes de Notre Seigneur et l'étoffe qu'Il portait autour des reins sur la croix, rapporte la Tradition.

Histoire - Quelques dates    


L'histoire moderne du Togo commence à partir du XVIIe siècle, par le royaume du Dahomey et le royaume des Ashanti à l'ouest.

Les Bassari, les Tamberma et les Kabiyés habitaient les régions montagneuses lorsque des populations arrivèrent, poussées par les événements qui déstabilisèrent l’Afrique occidentale: traite négrière, introduction des armes à feu et islamisation de la savane.

Dans le Centre- Nord, les Gourma islamisés et les Kotokoli se sont installés autour de Sokodé (Région centrale); les Tyokossi se sont établis dans la région de Mango. Le centre et le sud du pays ont subi les soubresauts de la montée des Bariba du Bénin, ainsi que du royaume du Dahomey et des Ashanti du Ghana. Réfugiées dans leurs montagnes, les populations locales ont résisté aux razzias de leurs voisins.

Également dans le Sud, les populations venues de l’Est (Bénin actuel et Nigeria) se sont installées en vagues successives à partir du XVe siècle, lors de l’arrivée des Portugais sur la côte. Les Éwés se sont établis dans le Sud autour de Tado, près de Notsé (sud de la région des Plateaux), au siècle suivant.

Au XVIIe siècle, parce qu'ils étaient devenus trop nombreux, les Éwés se sont dispersés dans l’Ouest, jusqu'à la rive gauche de la Volta. Du côté des Européens, à partir du XVIe siècle, les Portugais pratiquèrent un commerce actif et la traite négrière se développa au siècle suivant.

- XVIIème siècle : Quelques comptoirs furent établis dans la région mais l'essentiel de la traite des Noirs était pratiqué au Dahomey (actuel Bénin) et dans la Côte-de-l'Or (actuel Ghana) où le littoral présentait plus de facilités.
- 1884 : L'explorateur allemand Gustav Nachtigal signa un traité de protectorat avec le chef du lac Togo, et l'année suivante, au congrès de Berlin, durant lequel furent délimitées les zones d'influence économiques européennes en Afrique, la côte togolaise fut attribuée à l'Allemagne.

- 1920 : La France et la Grande-Bretagne procédèrent au partage définitif du pays. Lomé et toute la région côtière, soit les deux tiers de la colonie allemande, devinrent le Togo français, tandis que la partie occidentale, plus petite, fut administrée par la Grande-Bretagne qui l'intégra à la Côte-de-l'Or.

- 1956 : A l'issue d'une consultation référendaire, le Togo britannique fut incorporé à la Côte-de-l'Or, qui devint le Ghana au moment de son indépendance en 1957. Les Éwé avaient refusé ce choix qui consacrait la partition de leur territoire, lequel s'étendait avant la colonisation européenne de Notsé aux rives de la Volta. Cet éclatement devait par la suite nourrir des tensions périodiques entre Ghana et Togo.

- 1958 : Un nouveau référendum, organisé sous l'égide de l'ONU, permit au Togo français d'accéder à l'autonomie, en tant que république, au sein de la Communauté française.
- 1960 : Le Togo devient indépendant.
- 1967 : Coup d'État de l'armée.
- 1993 : Les exactions de l'armée à l'encontre de la population de Lomé, comptant de nombreux Éwé entraînent un exode massif vers le Ghana (où auraient trouvé refuge 100 000 personnes) et le Bénin (130 000 personnes).
- 1999 : Les partis politiques soutenant le président du Togo, Gnassingbé Eyadéma, et ceux de l'opposition ont signé un accord pour mettre fin à la crise politique.


   
Tourisme et culture    


PATRIMOINE MONDIAL DE L'UNESCO


Koutammakou, le pays des Batammariba


 
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