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DU 15 JANVIER AU 27 JANVIER
 

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L
BIENHEUREUX CESAR DE BUS (1607)
confesseur

Originaire de Cavaillon, sur les bords de la Durance, il vécut un temps à la cour frivole de la reine Catherine de Médicis. Il fut l’un de ceux qui participèrent au massacre des protestants, le jour de la Saint-Barthélémy. L’arrivée d’Henri IV lui fit quitter Paris, et, à Avignon, il fit pénitence grâce aux conseils du sacristain de l’église où, chaque matin, il entendait la Sainte Messe. Il renonça à sa vie de gentihomme mondain pour se faire prêtre. Il fonda la Congrégation des Pères de la Doctrine chrétienne en 1592 pour l’enseignement catéchétique et scolaire des jeunes.

SAINTE LARISSA (4ème s.) et ses compagnons et compagnes, martyrs goths, ils ne sont pas dans le martyrologe romain, mais ils sont honorés des Grecs et des Russes pour avoir subi le martyre en Crimée. Ils étaient vingt trois. Ils furent brûlés vif par un roi goth encore païen, dans la tente qui leur servait d’église, car ils étaient nomades. On connaît quelques noms : Larissa, Anna, Alla, Monco, Mamica, Uirko, Gaatha, Duklida, pour les femmes, et pour les hommes : Bathuse, Hiscoes, Souerilas, etc ...


SAINTE LYDIE (2ème s.) martyre en Illyrie (actuelle Slovénie), en même temps que son mari saint Philétas et leurs deux enfants et plusieurs autres chrétiens. Jetés ensemble en prison parce qu’il étaient fidèles à la même foi au Christ, ils furent torturés sur le chevalet. Mais rien n’y fit. Devant tant de courage, le juge se convertit. Ils furent jetés dans un chaudron d’huile bouillante.



SAINT GONTRAN (+ 593)
Confesseur. Petit-Fils de Clovis et roi de Bourgogne, il connut cette époque féroce et cruelle où la reine Frédégonde fit assassiner sa soeur, son beau-frère, son mari et l’évêque Prétextat. Clotaire II fit périr Brunehaut, reine d’Austrasie, en l’attachant à un cheval au galop. Lui-même, saint Gontran fit bien quelques écarts dans la fidélité conjugale, répudia sa femme, en vint à tuer son médecin, crimes qu’il ajoutait à bien d’autres. Et puis, il se convertit, pleura ses péchés pendant le reste de sa vie, racheta ses fautes par ses grandes libéralités envers les pauvres, qui le surnommèrent "le bon roi Gontran". Vers la fin de sa vie, il entra au monastère Saint Marcel de Châlon sur Saône. Peu après sa mort, il fut proclamé saint par son peuple.

BIENHEUREUX RAYMOND LULLE (+ 1315) Ce franciscain surnommé le "docteur illuminé" était originaire de l’île de Majorque et se livra à des études très approfondies : philosophie arabe, médecine, chimie et théologie. Son savoir était encyclopédique. Il encourageait l’étude de la religion musulmane et de la culture orientale. Il avait aussi quelques connaissances alchimiques. Il fit plusieurs missions en Afrique, dont trois à Tunis, pour annoncer l’Evangile aux Infidèles barbaresques dont il connaissait bien la langue. Une tradition incontrôlée le fait mourir lapidé à Bougie en Algérie.




Originaires SAINT JEAN CLIMAQUE (+ 605) Il venait de Palestine quand il se rendit au monastère Sainte Catherine du Sinaï. Il avait 16 ans et il y restera 19 ans sous la direction d’un moine vénérable qui lui apprend la vie parfaite. Un jour, ce dernier l’emmène auprès d’abba Jean le Sabaïte, ascète respecté. Celui-ci verse de l’eau dans un bassin et lave les pieds de Jean, et non pas du vénérable vieillard. Interrogé pourquoi, Jean le Sabaïte répond :"J’ai lavé les pieds de l’higoumène du Sinaï." La prophétie devait se réaliser quelques décennies plus tard. En attendant, son maître étant mort, Jean se retire au désert durant 40 ans. Il ne refuse jamais de donner quelques conseils et quelques enseignements quand on vient le trouver. Des envieux le traitant de bavard, Jean comprend qu’on enseigne plus par les oeuvres que par les paroles. Il rentre alors dans le silence. On devra le supplier de reprendre ses enseignements, ce qu’il fera par miséricorde. Après avoir longuement visité les monastères de l’Egypte, il revient au Sinaï et c’est à ce moment qu’il est élu higoumène du monastère Sainte Catherine. Vers la fin de sa vie, on lui demande de rédiger "L’Echelle Sainte" (en grec "klimax", d’où son nom) qui résume l’expérience spirituelle des trois premiers siècles du monachisme. "Ne cherche pas à beaucoup parler quand tu pries, de peur que ton esprit ne se distraie à chercher les mots." disait-il souvent. Ce livre est une véritable somme de la spiritualité monastique, et lui donna dans l’Eglise byzantine la première place parmi les docteurs mystiques. Son échelle devint si populaire que le tsar Ivan le Grand en fit un clocher au Kremlin de Moscou pour rappeler aux hôtes du palais qu’eux aussi ont une destinée surnaturelle.


MERCREDI 17 JANVIER
SAINT ANTOINE LE GRAND (+ 356)

Ermite en Egypte. C'était un jeune homme riche, propriétaire terrien en Haute-Egypte. Mais la question de son salut le tourmentait. Préoccupé par ce qu'il avait lu dans les Actes des Apôtres qui décrit la première communauté chrétienne où tout était en commun, il entre dans une église. Et c'est là qu'il entend l'Evangile du jeune homme riche. Il est saisi par la coïncidence : ce texte s'adresse à lui, pense-t-il, et aujourd'hui même. Il distribue sa fortune aux plus pauvres et se retire quelque temps après dans le désert de Nitrie, habitant un fort militaire abandonné. Là, pendant plus de vingt ans, il subira les attaques du démon qui prend l'apparence de bêtes féroces ou sensuelles. Ce sont les célèbres tentations de saint Antoine. Des disciples viennent le rejoindre et pour eux, il organise une vie monastique en même temps qu'érémitique. C'est pourquoi il est considéré comme "le père des moines". Attentif à la vie contemporaine de l'Eglise, il se rend à Alexandrie pour soutenir les controverses contre les païens et les hérétiques ariens. Le père des moines s'éteint à 105 ans. Plus que les faits merveilleux de sa vie, retenons ses paroles et les enseignements qu'il donnait à ses disciples :"Efforçons-nous, leur disait-il, de ne rien posséder que ce que nous emporterons avec nous dans le tombeau, c'est-à-dire la charité, la douceur et la justice... Les épreuves nous sont, en fait, profitables. Supprimez la tentation et personne ne sera sauvé."

JEUDI 18 JANVIER
SAINT ATHANASE D’ALEXANDRIE (+ 375)
et saint Cyrille d’Alexandrie (+ 444),

selon le calendrier des Eglises orientales. L’Eglise en Occident les fête le 2 mai pour saint Athanase et le 27 juin pour saint Cyrille. Saint Athanase était le secrétaire du patriarche d’Alexandrie au temps où le prêtre Arius niait la pleine divinité du Christ. Il accompagna son évêque au concile de Nicée où fut proclamée que le Christ était pleinement Dieu (consubstantiel au Père). En 328, il devint le patriarche de la métropole égyptienne. Il est épris de concorde et de réconciliation, d’autant que les persécutions ont cessé quinze ans auparavant à peine. Cinq fois exilé par des empereurs qui soutenaient l’arianisme, il devint le symbole vivant de la foi de Nicée. Un vieil évêque de Cordoue, qui ne comprenait pas bien ce qu’on lui demandait de signer, s’écria :"Je crois comme Athanase." Au siècle suivant, les débats théologiques se portent sur l’unité de la personne du Christ, homme et Dieu. Nestorius et ses partisans semblaient la nier. Autoritaire et bouillant, saint Cyrille est l’âme du concile d’Ephèse en 431, qui proclame solennellement que Marie est Mère d’un fils qui est Dieu, elle est Mère de Dieu. Les luttes seront âpres et la charité fraternelle eût fort à souffrir. A la fin de sa vie, saint Cyrille, pour ramener la paix dans l’Eglise, acceptera de rechercher des formules d’union.

VENDREDI 19 JANVIER
SAINT HENRI (+ 1157)

D’origine anglaise, il accompagna Nicolas Breakspear, le futur pape Adrien IV en Suède où il fut évêque d’Uppsala en 1152. Soutenu par le roi saint Eric IX, il l’accompagna en Finlande où il fut tué à Abo-Turku, par un opposant à la réforme qu’il entreprenait dans cette Eglise. Il fut canonisé en 1158 par la voix populaire. Considéré comme un martyr, il est patron de la Finlande et son nom est inscrit au martyrologe romain.


SAMEDI 20 JANVIER

SAINT SEBASTIEN (4ème s.)

Il est sans doute l’un des plus célèbres martyrs romains. Officier dans l’armée de Dioclétien, il était chrétien, et lors que cela fut découvert, il fut mis en demeure de sacrifier à l’empereur, sinon c’était un acte de rébellion. Lié nu à un arbre, il servit de cible aux tirs de ses propres soldats et enfin tué par bastonnade. Son culte date du 4ème siècle. Saint Ambroise en parle dans ses commentaires du psaume 118 et saint Damase lui fit construire une église au-dessus de sa tombe. Cette basilique est d’ailleurs l’une des sept principales églises de Rome. Malgré cela, les détails que rapportent les « actes » de son martyre n’ont été rédigés qu’au 5ème siècle.



DIMANCHE 21 JANVIER
SAINTE AGNES (+ 304 ?)

Il est certain qu’il y eût à Rome vers cette date, une fillette de treize ans qui mourut volontairement pour la foi en Jésus-Christ. La nouvelle s’en répandit très vite chez les chrétiens de l’Empire. On s’indigna de la cruauté des bourreaux, on s’apitoya sur la jeune victime, dont le nom se perdit au fur et mesure que la distance était lointaine de Rome. Et comme on ne savait pas exactement son som, elle est devenue "l’agneau" qui donne sa vie comme l’agneau de Dieu", d’où son nom d’Agnès. Elle devint une personnage légendaire, chacun imaginant le comment de sa mort. En Occident, on transmit la tradition qu’elle eût la tête coupée; en Orient, on dit qu’elle aurait été enfermée dans un lupanar où personne n’osa la toucher avant d’être brûlée vive. Quoi qu’il en soit des détails de son martyre, gardons présent à notre mémoire comme un exemple, ce fait historique qu’une jeune romaine de treize ans n’hésita pas à sacrifier la vie terrestre qui s’ouvrait à elle, pour se donner à la vie du Dieu qu’elle adorait. Saint Ambroise, évêque de Milan, dira d’elle qu’elle sût donner au Christ un double témoignage : celui de sa chasteté et celui de sa foi. (de virginitate. II. 5 à 9)

LUNDI 22 JANVIER
SAINT VINCENT (+ 304)

Diacre de Saragosse et martyr. La vie du patron des vignerons s’est tellement améliorée au cours des temps qu’il est difficile de démêler l’histoire de la légende. Trois faits sont historiques : il était diacre; il sut dominer les plus cruels supplices et, malgré ses souffrances, il chantait, riait et répondait avec humour aux humeurs de son tortionnaire, au point que saint Augustin dira de lui :"A travers cette ténacité, on discerne la puissance de Dieu."



MARDI 23 JANVIER
SAINT JEAN L’AUMONIER (+ 619)

Originaire de l’île de Chypre, cet ancien fonctionnaire impérial n’était plus très jeune quand il devint patriarche d’Alexandrie. Dès son arrivée, il recensa les pauvres et les sans domicile fixe. Et c’est ainsi que 7.500 pauvres chaque jour furent secourus par l’Eglise d’Alexandrie. Un jour qu’il voyait ses fidèles quitter l’office avant qu’il soit terminé, il partit les rejoindre, avec ses ornements liturgiques, en leur disant avec humour :" Je dois partir à la recherche des brebis égarées." Chassé par l’invasion perse de 619, il se réfugia dans son île natale et y mourut querlques mois plus tard. On rattache à le forme de son apostolat l’origine de “l’Ordre religieux et militaire des
Hospitaliers de saint Jean”, appelés par la suite les chevaliers de Mallte".


MERCREDI 24 JANVIER
SAINT FRANCOIS DE SALES (+ 1622)

Fils d’une noble famille savoyarde restée catholique en pays calviniste, il était destiné à un brillante carrière juridique. Son père l’envoie étudier à Paris. Mais il y découvre la théologie et les problèmes de la prédestination, soulevés par les calvinistes. Scrupuleux, il se croit prédestiné à être damné. Le désespoir le submerge jusqu’au jour où il découvre le "souvenez-vous", la prière mariale attribuée à saint Bernard. Il retrouve la paix et ce sera l’un des grands messages de sa vie quand il pacifiera sainte Jeanne de Chantal, puis quand il écrira son "Introduction à la vie dévote". Prêtre, puis évêque de Genève, il réside à Annecy, car Genève est la “Rome” des calvinistes. Il fréquente les plus grands esprits catholiques de l’époque, soutient la réforme des carmels de sainte Thérèse d’Avila, la fondation de l’Oratoire par saint Philippe Néri. Lui-même fonde l’Ordre des Visitandines pour mettre la vie religieuse à la portée des femmes de faible santé. Son "introduction à la vie dévote" est un ouvrage qui s'adresse à chaque baptisé. Il y rappelle tout laïc peut se sanctifier en faisant joyeusement son devoir d’état, en lequel s’exprime la volonté de Dieu. Il est le patron des journalistes car il écrivit de nombreuses feuilles imprimées qui sont des "gazettes" pour s’adresser aux calvinistes qu’il ne peut rencontrer.



JEUDI 25 JANVIER
LA CONVERSION DE SAINT PAUL

Six ans après l’Ascension, l’Eglise reçoit du Christ une grâce particulière qui sera déterminante pour l'avenir. Sur le chemin de Damas, le pharisien Saul de Tarse, qui avait obtenu des lettres de mission pour persécuter les sectateurs du charpentier de Nazareth, est jeté à bas de son cheval par un éblouissement de lumière. Toute la doctrine de saint Paul découlera de l’extraordinaire dialogue qui s’en suivit. L’Eglise et le Christ ne font qu’un et c’est ce Corps Mystique qui sera l’une des bases de l’ecclésiologie de saint Paul. C’est la résurrection qui s’affirme à lui comme une réalité incontournable. C’est un vivant qui lui parle et l’humanité du Christ s’établit dans la gloire de la divinité. L’Evangile s’impose avec une telle intensité qu’il en est aveuglé et terrassé jusqu’au moment où la lumière baptismale lui révèlera le mystère.


VENDREDI 26 JANVIER
SAINT TITE et SAINT TIMOTHEE (+ 97)

Les Eglise d’Orient les fêtent à une autre date. L’Eglise en Occident les unit comme disciples très chers de saint Paul qui leur confie la charge épiscopale dans l’Eglise naissante. Timothée, que Paul appelle "son vrai fils dans la foi" est né en Asie mineure d’u père grec et d’une mère juive. Converti lors de la première mission de saint Paul, il devient son disciple et son collaborateur fidèle. Pour le faire accepter des juifs et des judéo-chrétiens, Paul le fait circoncire. Timothée partagera la première captivité de Paul qui, lors de sa seconde captivité, le réclamera encore. Selon la tradition, saint Timothée serait mort évêque d’Ephèse. Tite est un grec converti, mais non circoncis. C’est un diplomate habile à qui Paul confie des missions délicates, tout en lui demandant d’être ferme et catégorique. Il ramènera la paix dans la communauté de Corinthe et organisera les communautés naissantes de Crète. La tradition nous dit en effet qu’il meurt évêque de Cnossos en Crète.



SAMEDI 27 JANVIER
SAINTE ANGELE MERICI (1540)

Née à Desenzano sur les bords du lac de Garde en Italie, elle fut orpheline à seize ans. C’est l’un de ses oncles qui l’élèvera, mais il aura fort à faire avec cette belle-fille indépendante. Elle vivait en plein paganisme de la Renaissance. Jusqu’au jour où son caractère l’entraînera à se donner à Dieu d’une manière aussi indépendante. Elle devient tertiaire de saint François, car elle veut vivre cette consécration dans le monde et la vie quotidienne. Pour gagner de quoi vivre, elle devient demoiselle de compagnie dans des familles de la bourgeoisie de Brescia en Lombardie. Ce qui lui permet, simultanément, une vie de silence, d’ascèse et de prière quand elle rentre dans sa petite chambre. Elle pèlerine en Terre Sainte, à Rome et ailleurs. Elle enseignait le catéchisme aux enfants. Et cette demoiselle de compagnie entretient beaucoup de relations avec la bourgeoisie qui se rend aux réceptions de ses maîtres. Comme elle est de bon conseil, on vient la consulter et ramène souvent ainsi la concorde dans les familles. Le Pape Clément VII apprenant ses réussites, lui demanda de venir catéchiser les fillettes romaines. Mais elle trouva de bonnes raisons pour se dérober à cette demande. En 1535, alors qu’elle s’est retirée en ermite dans une cellule, elle a une vision qui l’incite à se consacrer à l’éducation de la jeunesse. Elle fonde la Compagnie de Sainte Ursule (placée sous le patronage de cette vierge martyre), les Ursulines, destinée à des femmes qui désirent vivre en vierges consacrées tout en restant dans le monde. Quand elle meurt, elle leur laisse un admirable testament spirituel, fondé sur l’abandon à Dieu et la contemplation, au milieu du monde. C'est ainsi qu'elle fonda la première congrégation religieuse enseignante en Europe.
BIENHEUREUX FRA ANGELICO (+ 1455) Confesseur. Guido est né en Toscane. Adolescent, il va à Florence où il apprend à peidre, mais c’est la vie religieuse qui l’attire. Les deux ne sont pas incompatibles. Avec son frère Benoît, il entre au couvent des Dominicains de Fiesole où il reçoit le nom de Jean. Ordonné prêtre, il devient le prieur du couvent de Fiesole où il peint plusieurs rétables. Puis on l’envoie au couvent Saint Marc de Florence pour le décorer. Il y couvre de fresques le cloître, la salle du chapitre, les cellules et les couloirs du dortoir. Il décore aussi les murs de deux chapelles dans Saint Pierre de Rome e au Vatican, puis la chapelle privée du Pape. "Quiconque fait les choses du Christ, doit être tout entier au Christ" aime à dire frère Jean de Fiesole qu’on appelle aussi Fra Angelico. Il est simple et droit, pauvre et humble. Ses tableaux témoignent de sa ferveur. Ils s’éclairent et nous éclairent de la lumière divine qui l’habite et qui lui valut ce surnom. Une légende veut que les anges qu’il avait peint, pleurèrent ce jour-là. Le Pape Jean-Paul II a accordé son culte liturgique en 1982 à l’Ordre des Frères Prêcheurs et en a fait le patron des artistes durant le Jubilé 2000.



 
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