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26.12 -Les impossibles célébrations.

La liberté religieuse n'est pas encore un droit universel pour toute homme et toute femme qui veut vivre et célébrer sa foi. Noël en a été un exemple.

"L'Aide à l'Eglise en détresse", l'AED, en donne quelques exemples. Les régimes communistes d'Europe limitait cette liberté. C'est encore le cas en Chine et au Viernam, si l'on n'entre pas dans les perspectives du régime en place. Cuba a supprimé cette limitation.

Mais dans d'autres pays sans que soient interdites ces fêtes, connaissent de si grandes difficultés que la fête religieuse n'est plus une joie sans contrainte. Les chrétiens du Soudan, de quelques Etats de l'Inde, des régions entières du Nigeria et de certains Etats d'Indonésie ont du rester "discrets", et le terme n'est pas loin du ecret.

L'Arabie Saoudite, la Mauritanie sont encore plus stricts. C'est interdit, car ils ne connaissent pas la valeur de la liberté religieuse indépendante de leur religion officielle ou majoritaire. "La base de la convivialité entre les religions, déclare Marco Invernizzi de l'AED, c'est la reconnaissance sans restriction de professer pleinement une religion autre que celle qui est dictée par des gouvernants ou qui est considérée comme une trahison vis-à-vis de la loi religieuse officielle."

Et nous ajoutons qu'en interdisant la venue du président Arafat, avec sa femme qui est catholique, à la messe de Noël, Israël n'est-il pas sur la pente de l'intolérance qui conduit à l'immixtion dans la vie personnelle, à l'exclusivisme et à une absence de liberté ? Un haut fonctionnaire, proche d'Ariel Sharon n'a-t-il pas déclaré :"Puisqu'il est musulman, il n'a qu'à se rendre dans une mosquée...."

Pour plus d'informations :
A.E.D.

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