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du 22 au 25 avril 2010 (semaine 16)
 

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2010-04-25 - Angola
LES UNIVERSITÉS LUSOPHONES CRÉENT UN MASTER COMMUN

Les universités catholiques d’Angola, du Brésil et du Portugal, ces trois États de langue portugaise, se réunissent pour un Master pour former les futurs dirigeants de leurs trois pays.

L’université catholique d’Angola (UCAN) a lancé à Luanda, un programme de formation postuniversitaire, appelée MBA (Master in Business Administration) Atlantique qui concerne des enseignants provenant de trois États de langue portugaise qui ont une façade sur l’Océan Atlantique : Angola, Brésil et Portugal.

Le cours a pour but de former les managers des entreprises leaders des trois pays. Étaient présents à la cérémonie le ministre angolais pour l’instruction supérieure, la science et la technologie, Maria Cândida Teixeira, son Exc. Mgr Filomeno Vieira Dias, évêque de Cabinda, et le recteur de l’université catholique du Portugal, Paulo Alinkaste.

Sur 12 mois, les étudiants pourront accéder à un programme de formation sur les aspects économiques, politiques et sociaux des trois pays lusophones.

Le président de la Faculté d’Économie et de Gestion de l’UCAN, le professeur Justino Pinto de Andrade, a expliqué que le rapport entre les trois universités est équilibré. “Maintenant nous devons l’autre dans des conditions d’égalité dans un rapport de coopération, notamment dans un rapport de grande fraternité. C’est l’exemple que le monde académique doit offrir, c’est l’exemple que les universités doivent donner à la société” a affirmé le président.

Le Master comportera trois phases, qui se dérouleront respectivement en Angola, à San Paolo (Brésil), et à Porto (Portugal). Le ministre Maria Candida Teixeira a commenté : “L’université d’Angola, l’université catholique d’Angola et l’université pontificale de Saint Paul doivent être encouragées car, outre leur mission principale d’améliorer la formation personnelle hautement qualifiée, elles créent une occasion unique pour les sociétés des trois pays concernés de devenir plus compétitives”. (source : Fides)


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