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du 9 au 13 octobre 2012 (semaine 41)
 

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13 octobre 2012 -
PRÉSENTER AU MONDE L'ÉVANGILE DANS TOUTE SA GRANDEUR

Lors de l’audience du 10 octobre, Benoît XVI est revenu sur "l´évènement lumineux" qu´a été le Concile, y compris en termes très personnels. " "Ce fut pour moi une expérience unique". L'audience s'est conclue en arabe.

Il tient à souligner un fait décisif pour aborder ce que veut transmettre Vatican II. "Contrairement à nombre de conciles, Vatican II n´a pas été convoqué en raison "de questions de doctrine spécifiques ou de discipline à éclaircir". "La foi devait parler de manière renouvelée, plus incisive - parce que le monde changeait rapidement -, mais en laissant cependant intacts ses contenus pérennes, sans défaillances ni compromis".

Le concile devait esquisser "de façon nouvelle la relation entre l´Eglise et l´époque moderne, entre le christianisme et certains éléments essentiels de la pensée moderne, pour présenter à notre monde, qui tend à s´en éloigner, l´exigence de l´Evangile dans toute sa grandeur et sa pureté".

S´il a invité à revenir aux documents essentiels du Concile, Benoît XVI a aussi souhaité que ceux-ci soient libérés "d´une masse de publications qui les a cachés plus que fait connaître".

"Ce qui est important aujourd’hui, tout comme cela l’a été dans la volonté des pères conciliaires, c’est que l’on voie – à nouveau, de manière claire – que Dieu est présent, qu’il nous regarde, qu’il nous répond. Et que, au contraire, lorsque la foi en Dieu fait défaut, ce qui est essentiel s’écroule, parce que l’homme perd sa dignité profonde et ce qui fait la grandeur de son humanité".

En guise de boussole pour cette navigation, le pape indique les documents du concile, "auxquels il faut revenir, en les dégageant d’une masse de publications qui, bien souvent, les ont cachés au lieu de les faire connaître ".

Benoît XVI a conclu en relevant que l´époque actuelle était "toujours marquée par un oubli et une surdité à l´égard de Dieu" et qu´il convenait d´apprendre "la leçon du Concile": "le Christ oriente et guide notre vie".

Pour la première fois lors de cette audience, un jeune prélat égyptien a résumé les propos du pape en arabe. A son tour,
Benoît XVI a ensuite adressé quelques mots en arabe, salué par des applaudissements de la foule. (apic/imedia/ami/mp)En d’autres termes :

"Ce qui est important aujourd’hui, tout comme cela l’a été dans la volonté des pères conciliaires, c’est que l’on voie – à nouveau, de manière claire – que Dieu est présent, qu’il nous regarde, qu’il nous répond. Et que, au contraire, lorsque la foi en Dieu fait défaut, ce qui est essentiel s’écroule, parce que l’homme perd sa dignité profonde et ce qui fait la grandeur de son humanité".

En guise de boussole pour cette navigation, le pape indique les documents du concile, "auxquels il faut revenir, en les dégageant d’une masse de publications qui, bien souvent, les ont cachés au lieu de les faire connaître ".

Pour la première fois lors d'une audience, un jeune prélat égyptien a résumé les propos du pape en arabe. A son tour, Benoît XVI a ensuite adressé quelques mots en arabe, salué par des applaudissements de la foule. (source : .VIS)


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