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du 9 au 12 mai 2013 (semaine 19)
 

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12 mai 2013 - Belgique
LES MOUVEMENTS DE JEUNESSE DANS LA VIE D'UNE PAROISSE

Le diocèse de Liège a organisé toute une réflexion pastorale afin d’aller plus loin dans la rencontre entre les mouvements et les paroisses, mais aussi d’approfondir ou renouveler les liens qui les unissent et de poursuivre le travail entrepris ça et là.

Certes, les jeunes évoluent et le visage de l’Église n’est plus le même que par le passé pouvant donner l’impression de planètes différentes. Mais les mouvements de jeunesse demeurent présents. Clubs paroissaux ou patros en France, Patros en Belgique "Oratoires" ou Oeuvres en Italie, ils sont là depuis des décennies. Ils ont évolué certes, mais sont restés ancrés proches des paroisses.

« Ils sont une vraie richesse pour le diocèse » fait remarquer Baudouin Charpentier, vicaire episcopal de
Liège, en insistant sur la richesse de leur projet pédagogique, « véritable école de vie et de croissance ». Regrettant aussi que bien souvent leur manque un aumônier qui assure le relais avec les paroisses et les Unités pastorales.

Mgr Jousten a insisté quant à lui pour que l’on réfléchisse à ce que l’on attendait de l’aumônier dans les mouvements. Car la disponibilité de ces derniers a fortement changé; et les attentes des mouvements, et des animateurs en particulier, ne sont plus les mêmes que jadis. Parfois les contacts existent ; parfois, on ne se connaît plus…

Pour cela, le service dioc
ésain des Jeunes (SDJ) de Liège fait état de l’outilthèque, accessible en ses locaux, et annoncé qu’une liste de personnes-ressources pour les animateurs sera bientôt disponible.

Il a aussi mis en avant « La Marche des Jeunes » organisée chaque année et qui est une occasion pour les mouvements de participer à un rassemblement riche en rencontres et en découvertes. Plus encore, il a aussi mis en exergue des pistes intéressantes de collaboration concernant la gestion des locaux par exemple.

« Il faut oser prendre le temps d
e reparler localement de tout cela, si nous ne voulons pas définitivement nous couper de cet espace de vie et de construction offert aux jeunes », conclut Baudouin Charpentier. (source : Cathobel
)

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