04.05 - L'Eglise
qui est aux Antilles.
Dans le cycle qui prévoit la
rencontre des évêques d'une région du monde avec
le pape et les autorités centrales de l'Eglise, ce sont actuellement
les évêques des Antilles qui accomplissent leurs "visite
ad limina".
Le jeudi 2 mai, Jean Paul II a ainsi reçu le cardinal Adam Joseph
Maida, superieur de la Mission "sui iris" des IlesCayman); Mgr Edgerton
Roland Clarke, Archevêque de Kingston en Jamaïque; Mgr Kelvin
Edward Felix, archevêque de Castries à Sainte Lucie; Mgr
Lawrence Aloysius Burke, S.I., archevêque de Nassau aux Bahamas;
Mgr Edward Joseph Gilbert, archevêque de Port of Spain à
Trinidad et Tobago.
Le vendredi 3 mai, après avoir reçu l'ambassadeur du Maroc,
plusieurs évêques l'ont rencontré Mgr. John Joseph
Myers, superiore de la Mission "sui iuris" de Turks and Caicos (Turk
e Caicos); Mgr. Aloysius Ferdinandus Zichem, évêque de
Paramaribo en Surinam; Mgr. Benedict Singh, évêque de Georgetown
dans la République de Guyane; Mgr. Sydney Anicetus Charles, évêque
de Saint George's en Grenada ; Mgr. Donald James Reece, évêque
de Saint John's Basseterre en Antigua et Barbuda, et a Saint Kitts et
Nevis ; Mgr. Ernest Mesmin Lucien Cabo, évêque de Basse-Terre
en Guadeloupe.
Enfin le samedi 4 mai, Jean Paul II s'est entretenu avec Mgr. Robert
Rivas, évêque de Kingstown à San Vincenzo et Grenadine);
Mgr. Paul Michael Boyle, évêque de Mandeville en Jamaïque;
Mgr. Malcolm Patrick Galt, évêque de Bridgetown aux Barbades;
Mgr. Robert Kurtz, évêque de Hamilton aux Bermudes.
Par delà les rêves des touristes en croisière ou
sur les plages, américains ou européens, ce sont des communautés
chrétiennes locales qui sont ainsi venues exprimer au pape les
situations de leur vie quotidienne, sociale et religieuse. Une telle
énumération n'est pas qu'une simple liste. C'est aussi
une réalité commune qui a été exprimée
auprès des différents responsables des services de l'Eglise,
cardinaux et "monsignori", qui ont pu ainsi partager les soucis
de l'Eglise universelle et les soucis des Eglises locales.
Une "visite ad limina" n'est pas une démarche administrative,
c'est d'abord une convivialité pastorale qui témoigne
de l'Unité qu'elle confirme et approfondit par de tels échanges.
Pour plus d'informations : Service de
presse du Vatican
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