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FlashPress - Infocatho
du 12 au 18 août 2007 (semaine 33)
 
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2007-08-18 -
POUR UNE RENCONTRE DANS LA VÉRITÉ ET LA CLARTÉ

Dans une déclaration faite le 15 août sur les ondes de Radio Vatican, le cardinal Roger Etchegaray, vice-doyen du Collège des cardinaux, a précisé qu'il était porteur d’un message personnel du Pape, lors de sa rencontre avec Alexis II le 7 août 2007.

Se rendant à Novossibirsk pour un anniversaine de la cathédrale catholique, le cardinal a été reçu à Moscou par le patriarche orthodoxe russe.
Benoît XVI et le patriarche Alexis II, dit-il, souhaitent se rencontrer, “sincèrement et ardemment dans les conditions les plus claires de vérité".

Aucune date n'st envisagée. "Personne ne peut le dire“, a-t-il ajouté le cardinal, mais "c’est le souci des deux parties qu’elle ne soit pas "simplement une rencontre spectaculaire pour dire que les deux se sont rencontrés, de façon très médiatique".           

..." Tous deux veulent que la rencontre soit bien préparée et qu’elle advienne dans les conditions les plus claires de vérité et dans un dialogue en profondeur“. Pour le cardinal Etchegaray, “la presse exagère toujours un peu les événements, simplifie ou idéalise une réalité qui est plutôt complexe, il ne faut pas l’oublier“.           

Le cardinal était “porteur d’un message personnel de Benoît XVI pour lui“ et que celui-ci l'avait “beaucou papprécié“. “Dans le discours qu’il m’a adressé au début de notre rencontre privée, le patriarche Alexis II a énuméré les nombreuses initiatives qui désormais se prennent ensemble, catholiques et orthodoxes, en Russie, et tout ce qui se fait est impressionnant, de différentes manières, et tout est très nouveau“, a-t-il relaté.

"Il ne faut donc pas se fossiliser sur un lieu ou sur une date : il faut avoir confiance“.           

Cette nouvelle visite pourrait favoriser un rapprochement entre l’Eglise catholique et l’Eglise orthodoxe russe. Si une rencontre entre Alexis II et Jean Paul II n’a jamais été possible, une rencontre dans un pays neutre entre le patriarche de Moscou et Benoît XVI serait, en revanche, plus envisageable. (Information : Radio Vatican et Agence Apic)            

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