Pour vivre au rythme de l'Eglise universelle.
Le temps de la présence divine
ET MARIE MÉDITAIT CES ÉVÉNEMENTS DANS SON COEUR

 
DE BETHLÉEM ET DE NAZARETH POUR MARCHER SUR LES CHEMINS DES HOMMES
 

ET L'IMPOSSIBLE SE RÉALISE

L’impossible peut se réaliser.....
Ne peuvent s’en apercevoir
Que les « petits », les pauvres.
Ceux qui ne pensent pas tout savoir.
Qui n’osent pas tout savoir.

L’impossible ne se réalise
Que dans la lumière
Et le rayonnement de Dieu.
Que seule peut accueillir
L’humilité des tout-petits.

Ecoute le cri du pauvre,
Qui n’a rien d’autre que toi
Mais qui ne le sait pas.
Ecoute le cri des affamés
De justice et de paix,
De vérité et d’amour.

Apprends-moi, Révèle-moi,
Le vrai sens de ce monde,
L’amour offert et donné,
La recherche inlassable
Qui nous font te rejoindre










SUR UNE ÉTABLE DE PAUVRETÉ

Cette nuit-là, l'étoile brillait sur une étable de pauvreté,
sauras-tu te laisser envahir par cette douce lumière
qui éclaire juste assez pour voir les yeux d'un enfant,
des yeux qui portent en eux toute la tendresse du monde ?

Cette nuit-là, le silence couvrit le monde,
sauras-tu écouter le souffle du vent qui parcourt la terre
et te fait parvenir la plainte de tous ceux qui vivent dans l'angoisse,
de tous ceux qui n'ont jamais connu un instant de paix,
de tous ceux qui désespèrent de la vie ?

Cette nuit-là les bergers s'en vinrent à la crèche ....
oseras-tu un seul instant laisser tes petits soucis de côté ?
Oseras-tu pour un seul instant voir
un peu plus loin que le bout de ton nez ?

Cette nuit-là l'étoile s'arrêta sur une étabe de pauvreté....
N'hésite pas, mon frère, à sortir, à regarder autour de toi.
Il est là devant toi celui qui sème des fleurs de paix
dans le coeur des hommes, dans les sillons de ce monde;

Va, mon frère, rejoins-le, il t'attend sur le chemin de son étoile.
Il te fait partir sur un autre chemin
que celui de tes habitudes et de tes horizons.






SUR CE CHEMIN D'ESPÉRANCE

Au creux de cette nuit,
tu nous as inventé un chemin d'espérance.
Noël ! Dieu l'invisible,
est devenu visage d'enfant en ta naissance.

Cette poignée de jours que tu jettes en nos vies,
cette poignée d'amour que tu sèmes en nos nuits
sont des poignées de paix
qui germent en nos coeurs

Donne-nous, Seigneur, ton visage d'amour
Transforme-nous aux jours de ton passage.
Tu nous donnes ton corps,
tu nous donnes ta vie.

Toi, l'enfant de Bethléem !
Toi, l'offrande du Calvaire,
Toi, le Ressuscité !
Jésus, notre frère, notre Dieu !

Ne t'arrête pas, mon frère!
Ne t'arrête pas, ma soeur !
N'aie donc pas peur de vivre !
Sa vie nous ouvre à toute espérance

CE QUE J'ENTENDS,
CE QUE J'ATTENDS


J’ai parcouru les marchés de Noël
J’ai cherché sans trouver des pains de Noël
au goût délicieux et si différents.
J’ai cherché vainement trois pains précieux

C’est minuit chrétiens,
l’heure divine si attendu.

Ce pourrait être minuit aussi en Asie !
En Afrique ! En Chine ! Au Japon ! en Israël !

Ce pain a le même goût.
celui du froment pétri au coeur de Marie ;
le goût du partage familial,
le goût de l’amitié,
le goût de l’espérance, de la justice et de la paix.

le pain de la foi,
le pain de l’espérance et de la paix
pour notre terre.

"Demandez et on vous donnera ».
Voici que je suis venu
Je te cherche et je t'attends.

 

DANS LA CLARTÉ DE BETHLÉEM

En toute clarté matinale, Père,
un jour nouveau commence,
un jour reçu de toi
comme au matin de Bethléem.

Emerveillés de toi, Père,
ton amour nous est offert
et nous accueille en toute vie
comme au matin de Bethléem.

Comment chanter pour toi, Père,
en cet espace où s'enrichit le pauvre
qui accueille ta richesse
comme au matin de Bethléem.


ET TU NOUS AS REJOINTS

Tu as pris ce chemin
où notre vie piétine vers nous ne savons pas où.
Toi qui es le chemin
qui nous conduit vers l'infini de Dieu.

Tu as partagé cette vie
qui se dévide à espérer un impossible rêve..
Toi qui es la vie que tu nous donnes,
la vie de Dieu.

Tu es venu en nos demeures
où s'enferment nos amertumes.
Tu nous ouvres la maison de ton Père
pour y partager l'amour de Dieu.

  Ces textes ont des auteurs que nous avons chantés, que nous avons médités. Dans l'impossibilité où se trouve notre mémoire, nous leur demandons de nous excuser de ne pas citer leur nom. D'autres textes nous ont été donnés par des amis. Nous les en remercions.  

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