Pour vivre au rythme de l'Eglise universelle.
La Semaine de prière pour l'Unité - 2011
Unis dans l’enseignement des apôtres,
la communion fraternelle, la fraction du pain et la prière

 
PRIER CHAQUE JOUR  
 


Mardi 18 janvier

Le 1er jour situe les origines de l’Église mère de Jérusalem et en montre clairement la continuité avec l’Église répandue aujourd’hui à travers le monde. Il nous rappelle le courage de l’Église primitive qui rendait fièrement témoignage à la vérité, tout comme nous avons aujourd’hui à œuvrer pour la justice aussi bien à Jérusalem que dans le reste du monde. à suivre

Mercredi 19 janvier

Le 2e jour rappelle que la première communauté réunie à la Pentecôte était composée d’origines très diverses, et que, de la même manière, on trouve aujourd’hui dans l’Église à Jérusalem une grande diversité de traditions chrétiennes. Nous sommes donc à présent mis au défi de réaliser une unité visible encore plus étendue, par des moyens qui tiennent compte de nos différences et de nos traditions. à suivre

Jeudi 20 janvier

Le 3e jour porte attention à l’aspect le plus fondamental de l’unité : la Parole de Dieu communiquée à partir de l’enseignement des apôtres. L’Église de Jérusalem nous rappelle que, quelles que soient nos divisions, cet enseignement nous exhorte à nous dépenser par amour les uns des autres, et dans la fidélité à l’unique corps qu’est l’Église. à suivre

Vendredi 21 janvier

Le 4e jour insiste sur le partage comme deuxième expression de l’unité. Sur le mode des premiers chrétiens qui mettaient tout en commun, l’Église de Jérusalem appelle tous ses frères et sœurs de l’Église à partager leurs biens et leurs soucis dans la joie et la générosité de cœur, pour que nul ne demeure dans le besoin. à suivre

Samedi 22 janvier

Le 5e jour porte sur le troisième aspect de l’unité : la fraction du pain, qui nous rassemble dans l’espérance. Notre unité s’étend au-delà de la sainte communion ; elle doit comporter une attitude droite sur le plan de la vie morale, de la personne humaine et de l’ensemble de la communauté. L’Église de Jérusalem appelle les chrétiens à s’unir dans « la fraction du pain », car une Église divisée ne peut s’exprimer avec autorité sur les questions de justice et de paix. à suivre

Dimanche 23 janvier

Le 6e jour présente la quatrième caractéristique de l’unité ; tout comme l’Église à Jérusalem, nous tirons notre force du temps que nous passons à prier. Le Notre Père, tout particulièrement, nous appelle tous, aussi bien à Jérusalem que dans l’ensemble du monde, faibles comme puissants, à œuvrer ensemble pour la justice, la paix et l’unité afin que vienne le règne de Dieu. à suivre

Lundi 24 janvier

Le 7e jour nous reporte au-delà de ces quatre éléments d’unité : lorsque l’Église de Jérusalem proclame joyeusement la résurrection, même alors qu’elle endure la souffrance de la croix. La résurrection de Jésus est pour les chrétiens de la Jérusalem actuelle une espérance et une force qui les rend capables de demeurer constants dans leur témoignage, et de travailler pour la liberté et la paix dans la Cité de la paix. à suivre

Mardi 25 janvier

Le 8e jour conclut la démarche sur un appel lancé par les Églises de Jérusalem en faveur d’un plus vaste service : celui de la réconciliation. Même si les chrétiens parviennent à l’unité entre eux, ils n’auront pas achevé leur travail, car ils doivent eux-mêmes se réconcilier avec les autres. Dans le contexte de Jérusalem, cela signifie entre Palestiniens et Israéliens ; en d’autres communautés, les chrétiens sont appelés à rechercher la justice et la réconciliation dans le contexte qui leur est propre. à suivre


 

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